Montréal 2018: 18 raisons de passer au salon de l'auto
Première – et principale raison: parce que mise à part Tesla (!), toutes les grandes marques qui distribuent leurs automobiles en Amérique du Nord sont réunies sous le même toit (pas celui du stade, heureusement…). Ça comprend les italiennes exotiques comme Ferrari et Lamborghini. Sur notre photo: Olivia et la Lamborghini Aventador S, l’une des voitures les plus puissantes du salon avec ses 740 chevaux.
Parlant d’Italiennes: ce chic utilitaire est l’Alfa Romeo Stelvio, tout juste débarqué au Canada et ce, chez – uniquement – une dizaine de concessionnaires Fiat Chrysler (FCA) triés sur le volet. Ce premier VUS de la famiglia est à vous à partir de la modique somme de 53 000$. Le nom Stelvio vous dit quelque chose? Quelque chose comme 48 virages en épingle à cheveux, bien serrés? Bien sûr: lisez ici pourquoi…
Le véhicule le plus fou de tout le salon de l’auto de Montréal est ce Toyota Kikai, un prototype qui a d’abord été vu à Tokyo il y a deux ans. Kikai, ça signifie «machine» et c’est pourquoi l’espèce de bibitte à trois places (une devant, deux derrière) montre le plus possible de ses éléments mécaniques.
Bye Bye Nissan Juke, bonjour Nissan Kicks 2018. Le remplaçant de l’espèce de véhicule-grenouille gagne une silhouette plus conventionnelle, mais il perd au change et ce, à trois niveaux. Saurez-vous trouver lesquels?
Cet autre VUS compact qui fait irruption au salon de Montréal, c’est le Volvo XC40 2019. Pour la compagnie suédoise, il s’agit certes d’une première incursion dans la catégorie en forte croissance, mais gageons que le constructeur a su adapter sa recette suédoise…
Et troisième du lot, le petit Hyundai Kona 2018, présenté en grande pompe par les personnalités québécoises Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin, doit débarquer dans les salles de montre canadiennes d’ici la fin du printemps. Euh… mais qu’est-ce qu’ils ont donc tous, les nouveaux VUS, à se montrer dans pareille robe orange?
