Subaru Forester 2014: Celui qui a inventé la catégorie...
Sous ces nouveaux atours, on parle d’une plateforme qui s’étire de 3,5cm, ce qui conserve le véhicule parmi les plus longs de la catégorie. Voilà qui devrait se traduire par plus de générosité aux jambes arrière et au cargo – on dit ce dernier 12% plus vaste.
Pas d’extravagance au tableau de bord – on a d’ailleurs droit à un écran central qui semble sorti de « l’aftermarket » – mais le volant informe fait (enfin) place à quelque chose de plus angulaire et contemporain, comme pour les nouvelles Legacy et Impreza.
Sans surprise, la direction à assistance hydraulique cède le pas à l’électrique. Par contre, la double triangulation, à la suspension arrière, est toujours de mise, ce qui accorde au Forester une conduite unique – confo, mais se replaçant vite et bien – se démarquant de la compétition.
La CVT prend le pas – qu’on le veuille ou pas
Côté motorisation de base, le même quatre cylindres boxer (2,5 litres) de 170 chevaux continue d’être au rendez-vous dans les variantes 2,5i.
Mauvaise nouvelle : à ce moteur, on n’a toujours pas accordé l’injection directe. En contrepartie, la boîte manuelle gagne une vitesse (à six, maintenant) et la désuète boîte automatique quatre rapports tire (enfin!) sa révérence.
Cette dernière, comme le veut la tendance, est remplacée par la transmission à variation continue qui a pris d’assaut la plupart des autres véhicules Subaru. Une CVT, on le sait, ce n’est pas le Klondike, mais lorsqu’on la traite en gentleman, celle de Subaru est parmi les plus discrètes.
Il faudra voir les cotes de consommation qui seront officiellement annoncées au Salon de l’Auto de Montréal à la mi-janvier, mais gageons qu’on parlera d’un bon 10% d’économie versus feue la boîte automatique. Plus tard au printemps, l’on saura si le nouveau Forester continue de s’offrir aux mêmes prix d’étiquette, notamment à un prix de base de 25 995$.
Turbo!