Pourquoi le 4 juillet? Non pas pour célébrer le Jour américain de l’Indépendance, mais plutôt pour souligner la naissance de la petite voiture iconique, il y a déjà près de 60 ans de ça (1957), à Turin en Italie.
Le communiqué corporatif de Fiat Chrysler Automobiles (FCA), qui annonce un dévoilement «inoubiable» pour le 4 juillet prochain, fait mention d’une nouvelle Fiat 500. Mais les photos-espion immortalisées en Europe et qui ont commencé à surfer sur le Net montrent une silhouette qui, sous son camouflage, n’a guère changé.
Si nous avions à mettre un p’tit 2$ sur la chose, nous dirions que certes, le style de la «nouvelle» Fiat 500 2016 ne tombera pas très loin de l’arbre. Mais il est impossible que les modifications apportées à celle que l’on construit, pour nous, au Mexique, ne se résument qu’à de nouveaux phares, à des pare-chocs revus et à un habitacle retouché.
Après tout, la Fiat 500, qui nous est arrivée en 2011 (ça faisait alors 27 ans que la marque n’avait pas posé ses pneumatiques sur notre continent), n’a pas été revue depuis son dernier passage générationnel en 2007.
Et dans l’industrie automobile, huit ans, c’est presque un siècle…
Saviez-vous que…
… Fiat signifie Fabbrica Italiana Automobili Torino? Aux dernières années de distribution de la marque en Amérique du Nord, il y a trois décennies, les véhicules Fiat étaient affublés de toutes sortes de tares. Une traduction sarcastique était alors apparue: Fix It Again, Tony.