Subaru Forester: plus, mais pas encore assez
Essais routiers
mardi, 22 décembre 2009
C’est toujours dommage de trouver assez de défauts à un véhicule pour écrire : «Mmmmh, z’êtes mieux de passer à un autre appel». Surtout quand l’on aime bien, ledit véhicule. Mais que voulez-vous : le Subaru Forester pêche par sa trop grande simplicité, dans un marché où l’évolution des technologies se fait à vitesse grand V.
Bon, si on commençait par les fleurs, pour le Forester? D’abord, l’utilitaire compact de Subaru a le mérite d’avoir réussi, lors de son dernier passage générationnel en 2009, sa cure de rajeunissement. Il s’est délesté de son design carré bien peu sexy, pour adopter une jolie silhouette plus moderne et passe-partout qui, définitivement, s’intègre mieux dans le paysage automobile.
Certes, le style est d’un conventionnel consommé, mais le Forester vient plaire à pas mal plus de monde qu’auparavant. Et ça paraît dans les statistiques : depuis sa 3e et nouvelle génération, le Forester a vu ses ventes bondir de 43%, dans un marché pourtant en difficulté – ce n’est pas rien, avouez.
Pour ne plus jamais pelleter…