Honda Pilot en vacances: c'est l'amour!
Les Maritimes – Après toute cette route, c’est toujours l’amour avec le Honda Pilot, tant pour son confort, sa polyvalence que sa douceur de roulement. Même qu’on apprécie l’utilitaire comme moyen de transport, mais aussi comme cinéma-maison, voire comme chambre à coucher…
À bord de n’importe quel autre véhicule, parcourir 4000 kilomètres en six jours pourrait signifier maux de dos, courbatures et écœurantite aigue. Pas avec le Pilot : les sièges avant, très larges, sont de bon maintien et confortables, même après 12 heures de route.
La position de conduite est plus élevée que la moyenne et on aime que le levier de la transmission, verticalement accroché à la planche de bord, tombe sous la main. L’insonorisation est top, la finition impeccable et pas un «squick» ne vient troubler l’habitacle même quand le véhicule s’offre une escapade en hors-route.
Par contre, même après une semaine passée à manipuler les commandes, il faut encore bizouner pour trouver ses airs. Visuellement, le coup d’œil impressionne avec tous ces pitons qui foisonnent, mais il faudrait rappeler à Honda que c’est un véhicule qu’on veut conduire, pas un avion, aussi «Pilot» soit-il.
Notre version essayée (Touring), équipée pour se chiffrer dans les 50 000$, proposait...