BMW Série 1: entre perfection et arrogance

Essais routiers
lundi, 1 décembre 2008
Pas pour tous les jours. La BMW Série 1, je n’en voudrais pas pour la vie de tous les jours. De fait, avec son prix d’étiquette qui, même dans la version la plus haut de gamme, n’inclut ni les sièges électriques, ni la connectivité Bluetooth, je n’en voudrais pas du tout, de la BMW Série 1!

Personnellement, je ne la trouve pas jolie, jolie, la petite sportive. Ce style ramassé et ces lignes tranchantes conviennent à la majorité des modèles du constructeur allemand, mais sur une voiture de petit format, je trouve l’ensemble nettement moins heureux. Suis-je la seule? Peut-être, si j’en crois mon voisin qui s’est immobilisé au beau milieu de la rue, béat d’admiration, à la vue de mon cabrio rouge 135i…

Certes, une petite voiture sport reste une petite voiture sport. C’est-à-dire qu’elle souffre d’une absence de rangements qui se respectent, son habitacle est réduit et ses entrées/sorties se compliquent par une basse garde au sol. Et évidement, en version décapotable, la vision latérale-arrière est handicapée par le toit lorsque ce dernier est remonté. C’est donc le lot de la BMW Série 1 et, comme pour toute autre de son espèce, il ne faut donc pas lui en tenir rigueur.

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